BOLDO BIO* - écopack 21 comprimés
Pour favoriser le bon fonctionnement du foie et la digestion.
De la mélisse et de la vitamine B6, associées à du CBD, quelle bonne idée ! Voilà des bonbons parfaits - et bien pensés – pour vous aider à lutter contre vos petits soucis de stress et d’anxiété !
NB: ceci n'est pas un complément alimentaire, il s'agit d'un bonbon sans sucres avec édulcorants aromatisés au citron.
Le chanvre ou Cannabis Sativa est l’une des plus anciennes plantes cultivées par l’Homme. Son utilisation remonterait au Néolithique ! À cette époque, il permettait surtout de fabriquer des fibres textiles, mais ses vertus médicinales semblaient déjà connues. C’est une plante à fleurs qui contient plus de 500 composés chimiques différents, séparés en 2 catégories : les substances cannabinoïdes et non cannabinoïdes.
Les composés cannabinoïdes sont des substances chimiques qui ont des effets sur le système nerveux et le cerveau chez l’humain et les mammifères. Ils sont partagés en 2 familles, le cannabidiol (CBD) et le tétrahydrocannabinol (THC), qui sont les composants du cannabis dont l’activité́ pharmacologique est la plus notable. Les composés non cannabinoïdes sont quant à eux utilisés pour réaliser des huiles parfumées.
Il existe 3 sortes de cannabinoïdes : les endocannabinoïdes, qui sont naturellement produits par notre organisme, les phytocannabinoïdes, principalement produits par Cannabis Sativa, et les cannabinoïdes synthétiques, qui sont fabriqués en laboratoire et sont à visée médicale.
Le CBD a été isolé pour la première fois du cannabis par Roger Adams en 1940. Ce n’est pourtant qu’en 1963 que sa structure a été complètement étudiée. On sait depuis que le CBD n’exerce aucune action directe sur les récepteurs cérébraux, et n’induit pas d’effet psychoactif. Il est une substance très utilisée pour son action anti-stress dans certains pays comme la Suisse, le Canada et les États-Unis, mais encore trop peu connue en France [1].
Le cannabidiol ou CBD se décline sous de nombreuses formes comme des gélules, huiles, fleurs, voire résines [2]. Il possède des propriétés calmantes et relaxantes, mais pas d’effet psychoactif, donc pas de risque d’accoutumance. Ses bienfaits sont nombreux et prouvés. Il est légal et sans danger pour la santé.
A l’inverse, le THC ou tétrahydrocannabinol possède un effet psychoactif, il peut entraîner un syndrome d’addiction au cannabis ; il est à ce jour encore illégal en France [3].
Le cannabis est aujourd’hui très présent dans notre société́, pour son usage récréatif - cependant illégal - (cannabis naturel et cannabinoïdes de synthèse) ou pour son usage médical (cannabis médical et cannabinoïdes de synthèse), qui reste pour le moment à l’état expérimental [4].
Lorsque l’on a du mal à gérer son stress, utiliser des produits naturels qui permettent de lutter contre les coups de pression peut être une bonne solution. En cela, une molécule comme le CBD, extraite du chanvre, donc naturelle, est une très bonne alternative !
Malgré ses bienfaits désormais connus, l’utilisation et la consommation de CBD restent aujourd’hui sensibles, d’autant que les règlementations sont en permanente évolution. En effet, un nouvel arrêté visant à réviser la règlementation applicable à la culture, l’importation et l’utilisation du chanvre en France a été publié́ le 30 décembre 2021, puis révisé le 25 janvier 2022 et validé le 2 mars 2022, sur le site officiel du gouvernement, au sujet du CBD. D’abord, il stipule que les extraits de chanvre ainsi que les produits qui les intègrent doivent avoir une teneur en THC qui n’est pas supérieure à 0,3%. Ensuite, il confirme que la vente de fleurs brutes à fumer est interdite. Enfin, il précise que les produits contenant du CBD ne peuvent pas revendiquer d’allégation thérapeutique, à moins d’avoir été autorisés comme médicaments [5].
La culture du chanvre est autorisée en France, pour toutes les parties de la plante. La France est d’ailleurs le plus gros producteur européen de chanvre industriel. On parle de chanvre industriel lorsque la concentration en THC est inférieure à 0,2%. Pour le chanvre industriel, la tige permet de fabriquer des fibres textiles, ainsi que des matériaux de construction comme le béton de chanvre. Quant aux fleurs, après la floraison, à la fin de l’été, elles se transforment en graines, qui ne contiennent plus du tout de cannabinoïdes et permettent de fabriquer de l’huile et de la farine de chanvre, riche en protéines. Les fleurs et les feuilles ne peuvent être récoltées, importées ou utilisées que pour la production industrielle d’extraits de chanvre et par des agriculteurs actifs, au sens de la règlementation européenne et nationale en vigueur. Cela signifie, on le rappelle, que la vente aux consommateurs, la détention par des consommateurs ou encore la consommation sont interdites.
En Europe, le CBD est également légal. Le 19 novembre 2020, la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) a clarifié plusieurs points sur le statut de la molécule de cannabidiol extraite de plants de chanvre autorisés :
_ce n’est pas d’un stupéfiant,
_la molécule n’est pas nocive pour la santé,
_tout pays qui voudrait interdire le cannabidiol, par principe de précaution, doit pouvoir apporter la preuve qu’il présente un risque pour la santé,
_la France n’a plus le droit de s’opposer à la circulation sur son territoire de CBD extrait légalement en Union Européenne [6].
Avant de consommer du CBD, il est intéressant de comprendre comment agit cette molécule sur notre corps.
Pour commencer, rappelons que tous les organismes ont un système endocannabinoïde, qui comprend des récepteurs à cannabinoïdes.
2 types de récepteurs existent : les récepteurs CB1, qui réagissent au THC, et les récepteurs CB2, qui réagissent au CBD. Le CBD a une très faible affinité pour le récepteur CB1, ce qui explique qu’il ne présente pas les effets psychoactifs du THC. En revanche, il agit positivement sur les neurotransmetteurs comme sérotonine et dopamine, ce qui lui permet d’avoir un impact direct sur l’humeur et l’anxiété, notamment.
Ces récepteurs sont plus ou moins nombreux selon les personnes, d’où des sensibilités et réactions très différentes en cas de contact avec du cannabis. Une autre variable est la voie d’administration et la biodisponibilité du CBD, c’est-à-dire la capacité de la molécule à passer dans le sang. Sachez que le CBD étant une molécule liposoluble, il est préférable de mettre quelques gouttes d’huile à base de CBD sous la langue, plutôt que de boire une tisane à base de cannabidiol ! Certains formats sont donc plus efficaces que d’autres afin de profiter au mieux de ses bienfaits. Un petit tour d’horizon des différentes formes, justement. On trouve du CBD en huiles, compléments alimentaires, boissons, tisanes, cosmétiques, médicaments (pour usage sur l’homme, mais également pour les animaux), à fumer en vaporette, etc… [6].
Nos bonbons CBD25, ce sont des plantes et une vitamine sous formes de poudre ou d’extraits concentrés - les actifs de la formule - et juste quelques excipients, pour assurer la forme de bonbons.
Chez Fitoform, pas de superflu ! Peut-être que des colorants rendraient le comprimé plus « attrayant », mais nous préférons assurément laisser la place aux plantes et aux actifs.
En associant du CBD avec une plante aux vertus calmantes comme la mélisse, et avec une vitamine indispensable à l’équilibre du système nerveux comme la vitamine B6, le laboratoire Fitoform a trouvé une super association tournée vers le bien-être et la détente !
L’idée de proposer cette formule sous forme de bonbons va dans le même sens. Une forme ludique, facile à prendre, pour une juste dose de bien-être !
Nous privilégions au maximum les circuits courts, l’origine France dès que possible, des producteurs qui apportent des garanties en termes de qualité, d’efficacité (bulletin d’analyses sur les actifs des plantes), et de sécurité (plan de contrôle). Du sérieux, quoi !
Bonbons sans sucres avec édulcorants aromatisés au citron. Edulcorant : sorbitol, extrait de mélisse (6%), cannabidiol (1%) garanti sans THC , arôme naturel de citron, anti-agglomérant : stéarate de magnésium, vitamine B6.
1 pastille contient:
_25 mg de CBD,
_1,8 mg de vitamine B6 (128,6%*)
_600 mg de mélisse en équivalent plante
*Valeurs nutritionnelles de Référence
« Le bien-être émotionnel désigne notre capacité à reconnaître et comprendre nos émotions. Ce qui nous aide à bien gérer le stress et les difficultés »
explique une psychothérapeute. Ainsi, les émotions positives (joie, gratitude, sérénité...) viennent prendre le dessus sur les éventuelles émotions négatives comme la peur, l’anxiété, la colère ou la tristesse. Ce qui ne signifie pas que l’on doive toujours adopter une attitude positive, parce que les épreuves font partie de ma vie. Mais la façon de les gérer est un excellent signe de bien-être émotionnel !
On parle souvent de l’importance du bien-être physique, pour être en bonne santé et diminuer les risques de maladies : avoir une activité physique, mieux manger, éviter de fumer, limiter sa consommation d’alcool, etc… Et les émotions dans tout ça ? Quid de notre bien-être émotionnel ?
Les émotions négatives, surtout lorsqu’elles sont répétées et non-maîtrisées, peuvent causer stress, anxiété, voire dépression. Ce stress produit dans notre corps une hormone appelée cortisol, qui, sur le long terme, a un impact négatif sur notre système immunitaire, et nous rend plus fragile. Le stress peut aussi induire des comportements délétères, comme une alimentation déséquilibrée, voire un excès d’alcool et de cigarettes. Ce qui, à long terme, peut provoquer des maladies cardiovasculaires, cancer, diabète de type 2…
À l’inverse, de nombreuses études ont prouvé que les émotions positives ont un très bon impact sur notre santé, en améliorant la mémoire, nous rendant plus créatifs, plus ouverts aux changements, voire plus attentifs.
En 2019, le psychiatre Cédric Lemogne expliquait au Figaro :
« Qu’être heureux, trouver un sens à sa vie, et se sentir utile aux autres est associé à une plus grande longévité, c'est indéniable ».
Sur ce point, le psychiatre se veut prudent, soulignant que les émotions positives influenceraient notre santé, mais sans non plus jouer un rôle majeur. Aussi, il ajoute :
"Nos conditions de vie peuvent aussi expliquer en partie ce lien. Et puis, quand on se sent bien, on est plus attentif à sa santé, moins sujet à l'addiction, au tabac et à l'alcool, etc."
Les causes de stress sont nombreuses : solitude, divorce, problèmes financiers, décès d’un proche, crises sanitaires, conflits, bruit, omniprésence des écrans, exigences de la société (réussite, performance, etc…). L’une de ces causes peut générer un stress, mais nous sommes souvent sujets à une combinaison de plusieurs causes ! S’il s’installe dans la durée, le stress peut alors prendre de l’ampleur, épuiser notre organisme et avoir de vraies conséquences pathologiques.
Le stress est un syndrome général d’adaptation du corps qui réagit à son environnement, notion découverte en 1935 par Hans Selye. Notre organisme répond à un contexte stressant, par une réaction en 3 phases.
Face à une situation jugée stressante, l'organisme se prépare au combat ou à la fuite, il réagit instantanément en libérant des hormones (des catécholamines, produites par la glande médullo-surrénale, dont l’adrénaline). Elles ont pour but de préparer l'organisme à réagir, en augmentant la fréquence cardiaque, la tension artérielle, la vigilance et même la température corporelle !
De nouvelles hormones sont alors sécrétées par la glande corticosurrénale, les glucocorticoïdes. Elles font augmenter le taux de sucre dans le sang, afin d’apporter l'énergie nécessaire aux muscles, au cœur et au cerveau pour répondre à la situation stressante. La sécrétion de ces glucocorticoïdes est autorégulée : des récepteurs du système nerveux central détectent les quantités libérées dans le sang et adaptent leur production selon les besoins.
Si la situation stressante se prolonge voire s’amplifie, l’organisme entre en phase d’épuisement, car les capacités d’autorégulation de l’organisme - citées précédemment - sont débordées.
En complément de ce syndrome général d’adaptation, il est bon de rappeler qu’il existe 2 types de stress, le stress aigu et le stress chronique. Si les symptômes cités ci-dessus apparaissent et disparaissent tout aussi rapidement après une situation stressante, on parle de stress aigu. A l’inverse, il s’agit de stress chronique quand les causes du stress durent ou se répètent, et que l’état de stress devient permanent, finissant même par nuire au bien-être quotidien. Parfois, le stress chronique peut aller jusqu’à provoquer des attaques de panique, également appelées crises d'angoisse, qui se manifestent par des symptômes physiques et psychologiques très intenses et très violents, comme une accélération du rythme cardiaque, une importante transpiration, une sensation de vertige, voire un poids dans la poitrine et même une sensation de mort imminente.
Cependant, même si le stress que nous connaissons le mieux est le stress physique ou psychique, d’autres stress moins apparents existent bel et bien, comme le stress métabolique (diabète de type II, hypertension, stress oxydatif, obésité, etc.) ou le stress endocrinien (grossesse, diabète de type I, ménopause, andropause, troubles thyroïdiens, etc…).
Pour aller encore plus loin dans l’impact du stress sur notre organisme, notons que des études récentes, menées sur des humains et sur des animaux, montrent que les perturbations biologiques liées au stress chronique modifieraient durablement la façon de répondre aux nouvelles situations stressantes (par un processus épigénétique, c’est-à-dire qui modifie, non pas la séquence de l’ADN, mais l’expression des gènes).
Terrible fléau que le stress ! Au vu de tous ces symptômes et impacts sur l’organisme, il semble vraiment intéressant de se tourner vers des plantes connues pour contribuer à la stabilité émotionnelle et à la gestion du stress, comme le CBD par exemple [8].
Le sommeil est une période de repos de 6 à 8 heures par nycthémère (cycle de 24h comprenant 1 jour et 1 nuit), prise de préférence pendant la nuit, et permettant une récupération physique, psychologique et aussi une structuration des acquis révélés pendant les périodes d’éveil. Grâce à ses fonctions de récupération, le sommeil permet d’assurer les activités quotidiennes physiques et cognitives, en maintenant un équilibre énergétique stable et une température corporelle constante entre 36 et 37°C.
L’organisme profite de la phase de sommeil pour se restaurer, renouveler, réparer les tissus et fonctions sollicités au cours de la journée. Du coup, toute perturbation du sommeil peut entraîner des troubles de la vigilance, non seulement parce que le mécanisme de récupération est moins efficace, mais aussi à cause des rythmes biologiques désynchronisés. Le manque de sommeil peut ainsi avoir un impact sur la qualité du travail. En même temps, soulignons que les conditions de réalisation des activités durant la phase d’éveil (sport, situations de stress, etc…) agissent également sur la qualité du sommeil.
Ne négligez pas votre sommeil ! On recommande entre 7 et 8 h de sommeil par nuit. Or, les Français dorment de moins en moins, le temps de sommeil est même passé sous le seuil des 7h !
De ce fait, il paraît primordial de bien gérer ses temps d’activité et de repos, pour maintenir son niveau de performance. D’où l’intérêt d’être à l’écoute de son rythme, de bien se connaître, et de respecter quelques règles d’hygiène du sommeil.
Il est également intéressant de connaître les différentes phases de sommeil ! Une nuit de 7 à 8 heures chez l’adulte est constituée d’environ 5 à 6 cycles de 90 minutes, comprenant la succession de 3 grands stades de sommeil.
qui est la première étape d’un cycle de sommeil. Il est décomposé en 2 stades, qui occupent 25 à 35 % du temps de sommeil :
Le stade 1 (N1), soit la phase d’endormissement, caractérisée par une baisse du tonus musculaire et de la fréquence cardiaque, et un ralentissement modéré de l’électro-encéphalogramme.
Le stade 2 (N2), caractérisée par une plus grande perte de conscience, un tonus musculaire bas et les yeux qui font des mouvements lents. Ce stade de sommeil est encore très sensible aux stimuli extérieurs.
qui est la période de récupération physique et métabolique du cerveau et de l’organisme, c’est le Stade 3 (N3), qui occupe 15 à 25 % du temps de sommeil total chez l’adulte. Cette phase de sommeil permet la plus grande récupération physiologique pour l’organisme.
(en anglais REM sleep pour Rapid Eye Movement) se caractérise par des mouvements oculaires rapides bilatéraux et symétriques, et une activité cérébrale rapide, alors que le corps est presque paralysé (d’où son nom paradoxal). Cette phase de sommeil permet la récupération de la fatigue nerveuse et émotionnelle, diminue le stress, et favorise la concentration et la mémorisation. C’est également le moment des rêves.
Le sommeil de début de nuit est composé essentiellement de sommeil lent léger et lent profond, tandis que la fin de nuit est très riche en sommeil lent léger et paradoxal.
Une nuit de sommeil comprend 20 à 25 % de sommeil lent profond, 20 à 25 % de sommeil paradoxal et 50 à 60 % de sommeil lent léger.
La durée idéale d’une nuit de sommeil est celle qui permet de se sentir en forme et efficace au matin. Pour la majorité de la population française, le besoin de sommeil est compris entre 7 et 8 heures (étude Baromètre Santé 2020, 12e édition). Avec l’âge, les besoins ont plutôt tendance à diminuer. Cependant, il ne faut pas confondre les besoins physiologiques de sommeil, qui sont génétiques, avec le temps usuel de sommeil, qui dépend de nos habitudes, nos conditions de vie et nos contraintes familiales comme professionnelles. Le temps de sommeil moyen des Français était de 6 h 58 minutes en semaine, toujours selon le Baromètre Santé.
Il s’agit de l’alternance au cours de la journée (rythme circadien, proche de 24 heures) des différentes phases, allant de l’éveil maximal (vigilance la plus soutenue) au sommeil profond, en passant par des périodes d’endormissement, donc de sommeil léger.
Une info édifiante : les variations du niveau de vigilance sont superposables à celles des accidents de la circulation ! Il existe notamment un pic principal d’accidents entre 4 et 8h du matin, correspondant au creux circadien de vigilance, et un pic secondaire entre 14 et 16h, qui correspond au creux de la vigilance du début d’après-midi !
3 mécanismes principaux régulent ce cycle veille/sommeil :
_La pression homéostatique (processus S), qui fonctionne comme un sablier, qui se remplirait ou se viderait selon le temps passé en sommeil ou en éveil.
_L’horloge circadienne (processus C), qui varie selon l’heure du nycthémère et sous la dépendance de notre horloge interne, située dans l’hypothalamus antérieur. La synchronisation biologique de notre organisme est d’ailleurs renforcée par la libération de mélatonine durant la nuit, qui est inhibée par la lumière et par des synchroniseurs secondaires (contacts sociaux, horaires de travail, repas, activité physique…).
_L’inertie au réveil, qui se caractérise par une amélioration progressive des performances psychomotrices et cognitives après une période de sommeil. Elle est variable selon les individus. Pour exemple, cette inertie au réveil varie entre 15 et 40 min après une sieste prolongée. Elle est bien sûr augmentée en cas de prise d’hypnotiques ou si le sommeil n’est pas réparateur.
_La privation totale de sommeil est une période d’éveil continu sans sommeil. Une insomnie, quoi ! Elle est généralement suivie d’une hyper-somnolence le jour suivant, d’une intense sensation de fatigue et par le déclin avéré des performances cognitives !
_La restriction aiguë de sommeil correspond à une diminution du temps de sommeil pendant un ou plusieurs jours, allant d’1 à 6 heures par nuit (soit 20 à 80% du temps de sommeil habituel en moins). Si l’organisme s’adapte à une ou deux nuits de restriction modérée du temps de sommeil, quelques jours d’insomnie réelle suffisent pour entraîner une importante diminution des performances.
_La restriction chronique de sommeil correspond à une durée de sommeil nocturne trop courte par rapport à nos besoins durant plusieurs semaines, voire plusieurs mois : en général moins de 6 heures de sommeil par nuit. C’est un comportement très répandu dans nos sociétés modernes du fait des hyper sollicitations comme les activités sociales, professionnelles, le surplus d’informations, de télévision, d’Internet, de réseaux sociaux, etc…
Un manque aigu de sommeil affecte surtout les tâches complexes (demandant une attention soutenue), monotones, de longue durée, ou les tâches insuffisamment apprises. À l’opposé, les tâches moins affectées sont les tâches courtes, simples, bien apprises et intéressant directement la personne. C’est pourquoi la conduite automobile est si dangereuse en cas de manque de sommeil !
Des études en laboratoire de l’IRBA (institut de recherche biomédicale des armées) montrent une diminution de la vitesse de réaction et une augmentation du nombre d’erreurs objectivées sur le test de référence de la vigilance psychomotrice (PVT, Psychomotor Vigilance Test) en cas de privatisation totale d’une nuit de sommeil, ou partielle et chronique (1 semaine à 4 h de sommeil par nuit). De plus, on note une augmentation du nombre de micro-sommeils en journée, c’est-à-dire des périodes de 3 à 15 secondes de perte totale d’attention ! Impliquant ! A noter qu’une petite mais régulière diminution du temps de sommeil (1 à 2 h par nuit) sur plusieurs jours peut avoir les mêmes conséquences sur nos performances mentales qu’une privation unique mais totale d’une nuit de sommeil !
La dette de sommeil n’a pas d’effet direct sur notre force musculaire ou notre capacité d’endurance mais elle affecte l’attention, la prise de décision, la motivation, la perception de l’effort, l’humeur, ce qui finit par impacter notre performance physique, notamment dans les sports d’équipe ou de combat. La dette de sommeil pourrait aussi être un facteur de risque de lésion musculo-articulaire et retarderait la cicatrisation.
Une nuit blanche ou une restriction aiguë de sommeil peuvent entraîner une perturbation de notre système immunitaire, souvent associée à une inflammation dans l’organisme. Des modifications qui pourraient favoriser ou aggraver l’arrivée d’infections virales et bactériennes, voire diminuer la réponse à une vaccination ! A long terme, le risque de constater des troubles métaboliques et cardiovasculaires est réel.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : nous avons perdu en France 1 h 30 de sommeil en 50 ans ! Cette dette de sommeil affecte surtout les adolescents et les jeunes adultes, accros aux écrans et aux activités tardives, mais aussi les travailleurs postés (une information des travailleurs de nuit sur ces risques a été faite par la Haute autorité de Santé HAS), et enfin les cadres, qui réalisent pas mal d’heures supplémentaires et subissent un important stress professionnel.
Cette dette répétée de sommeil n’est pas anodine et peut affecter notre qualité de vie et peut avoir à long terme des conséquences délétères sur les fonctions biologiques métaboliques, inflammatoires et immunitaires. On parle de risques de prise de poids, de maladies cardiovasculaires (diabète, hypertension artérielle, accident vasculaire cérébral…). Une étude a même montré que dormir une heure de plus chaque nuit soignerait certaines formes d’hypertension !
A cause d’un manque chronique de sommeil, des troubles cognitifs et psychologiques ont également été décrits, avec l’apparition d’un état dépressif, une baisse de motivation, une altération des performances mentales, des conduites addictives, une anxiété, un trouble du comportement, des difficultés d’apprentissage, un décrochage scolaire… L’HAS a également alerté la femme enceinte sur une augmentation du risque d’avortement spontané, d’accouchement prématuré et de retard de croissance intra-utérin lié au travail de nuit avec privation de sommeil (HAS, 2012). Enfin, la somnolence au volant, première cause d’accident sur autoroute, multiplie le risque d’accident par 3 à 5 selon les études [9, 10].
Ne négligez pas votre sommeil ! On recommande entre 7 et 8 h de sommeil par nuit. Or, les Français dorment de moins en moins, le temps de sommeil est même passé sous le seuil des 7h ! Il était de 6h42 en semaine en 2017 (selon un baromètre de Santé Publique France publié dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire), tandis qu’une précédente enquête de 2010 concluait sur une moyenne de 7h09…
Élaborée en 1960, à partir des connaissances en neurosciences du professeur Alfonso Caycedo, la sophrologie est une thérapie brève qui repose sur l’écoute bienveillante. La méthode associe respiration contrôlée, détente musculaire et visualisation d’images positives.
Technique de relaxation à la fois physique et mentale, la sophrologie permet de prendre conscience de son corps en se libérant de différents points de blocage. La sophrologie est un « entraînement du corps et de l’esprit pour développer sérénité et mieux-être, basé sur des techniques de relaxation et d’activation du corps et de l’esprit ».
Elle s’adresse à toute personne cherchant à améliorer son existence et développer mieux-être et détente. Des séances spécifiques peuvent être proposées aux jeunes enfants et aux adolescents.
La sophrologie n’est pas une médecine, elle ne soigne pas, il s’agit plus d’un outil de développement personnel. Elle est utilisée par de nombreux sportifs ou artistes pour mieux contrôler leur trac ou la « pression », par exemple.
Lire est l’une des meilleures manières de se détendre, car c’est un remède anti-stress. La lecture peut aider la santé mentale de manière globale et aider le côté créatif en renforçant notre esprit. Se laisser emporter par un livre permet d’échapper à la réalité pendant un petit moment, et pousse l’esprit à se concentrer sur une seule chose. Cela permet d’éliminer le stress du travail, les pensées négatives, les réseaux sociaux... tout en permettant au cerveau de se détendre.
Essayez de mettre 15 à 30 minutes de votre temps avant de vous endormir pour lire, et vous verrez un changement dans votre comportement de sommeil.
Le sommeil est une fonction physiologique essentielle, puisqu’elle occupe environ 1/3 de notre quotidien ! Malheureusement, divers troubles du sommeil, souvent appelés « insomnies » (qu’elles soient exceptionnelles ou chroniques) peuvent altérer cette fonction.
On a longtemps supposé que le cannabis avait des effets hypnotiques. Aujourd’hui, certains de ses effets sur le sommeil ont été étudiés, notamment le rôle du système endocannabinoïde dans la régulation de l’équilibre veille/sommeil. Ainsi, la consommation aiguë de THC favoriserait le sommeil (moindre temps d’endormissement, diminution des réveils nocturnes, augmentation du temps de sommeil total et du sommeil profond). Cependant, ces effets diminuent, voire carrément s’inversent en cas de consommation chronique, sûrement à cause d’un effet d’accoutumance. Le sevrage au cannabis peut même induire de véritables insomnies.
Le CBD possède des propriétés calmantes et relaxantes, mais pas d’effet psychoactif, donc pas de risque d’accoutumance. Ses bienfaits sont nombreux et prouvés. De plus, il est légal et sans danger pour la santé !
Le CBD, à l’inverse, pourrait favoriser l’éveil. Une étude a évalué l’intérêt d’une consommation de CBD chez des personnes anxieuses souffrant de troubles du sommeil. En moyenne, l'anxiété et le sommeil se sont améliorés pour la plupart des patients, des améliorations qui se sont maintenues dans le temps. Ce sont ici les propriétés calmantes et anxiolytiques du CBD qui semblent jouer.
Lors de la première évaluation mensuelle après le début du traitement au CBD, 79,2% (57/72) et 66,7% (48/72) de tous les patients ont respectivement ressenti une amélioration de l'anxiété et du sommeil. A l’inverse, 15,3% (11/72) et 25% (18/72) ont respectivement présenté une aggravation des symptômes d'anxiété et de sommeil.
Deux mois après le début du traitement au CBD, les chiffres se sont confirmés avec 78,1% (32/41) et 56,1% (23/41) des patients qui ont signalé une amélioration de l'anxiété et du sommeil, par rapport au mois précédent. Et environ les mêmes pourcentages de patients - 19,5% (8/41) et 26,8% (11/41) - ont signalé une aggravation des problèmes par rapport au mois précédent.
Ces résultats montrent donc une diminution importante de l'anxiété, mais seulement une légère amélioration côté sommeil. Les scores d'anxiété ont diminué au cours du premier mois, et sont restés diminués pendant la durée de l'étude.
Le traitement au CBD a été en général bien accepté, à en juger par les réponses des cliniciens et des patients. Presque tous les patients ont facilement donné leur consentement éclairé une fois le traitement expliqué. 4 patients seulement ont refusé le traitement au CBD, en raison de préoccupations religieuses ou éthiques vis à vis du cannabis. La plupart des patients ont apprécié la possibilité d'essayer quelque chose de naturel et d'éviter l'utilisation ultérieure ou initiale de médicaments [11].
Plusieurs mécanismes ont été étudiés, prouvant les importantes qualités anti-oxydantes du CBD. Tout d’abord le CBD, comme d'autres antioxydants, capture les radicaux libres ou les transforme en des formes moins actives, grâce aux groupes hydroxyle du cycle phénol. Il empêche ainsi la formation de radicaux superoxydes, qui sont principalement générés par la xanthine oxydase (XO) et la NADPH oxydase (NOX1 et NOX4). Cette activité a été démontrée dans le modèle de néphropathie rénale utilisant des souris traitées au cisplatine (C57BL/6J), et dans des cellules endothéliales coronaires humaines (HCAEC). Ensuite, le CBD favoriserait une réduction des niveaux de NO dans le foie de souris, traitées à la doxorubicine, et dans le tissu des pattes des rats Wistar, dans un modèle d'inflammation chronique. Une autre étude a permis de constater que le CBD diminue la formation de β-amyloïde dans les neurones, en réduisant la concentration d'ions de métaux de transition.
Enfin, le CBD soutient également l'action des enzymes antioxydantes en empêchant une réduction des niveaux de microéléments (par exemple, Zn ou Sn), qui sont généralement abaissés dans des conditions pathologiques. Ces éléments sont nécessaires à l'activité biologique de certaines protéines, notamment des enzymes [12].
Les pratiques sportives intenses entraînent des lésions et inflammations au niveau des muscles squelettiques. Ce qui a pour conséquence une baisse/perte de performances des muscles, qui ont besoin d’un temps certain de récupération/cicatrisation. Lors d’une compétition, pour maintenir la performance, le but est d’essayer de minimiser ce temps de récupération. Pour cela, de nombreux sportifs de haut niveau utilisent des compléments alimentaires, dont certains à base de CBD.
Petit point sur les marqueurs sanguins présents en cas de lésions musculaires. Les deux plus utilisés sont la créatine kinase (CK) et la myoglobine (Mb), qui sont des protéines musculaires. Pendant un effort physique intense, la perméabilité́ de la membrane musculaire augmente, donc les protéines musculaires quittent le muscle, et on constate une augmentation de la concentration sanguine en ces protéines. Plus le taux de CK et Mb est élevé, plus cela indique que les fibres musculaires sont lésées. Ces marqueurs vont aider à évaluer l’impact du CBD sur la récupération musculaire.
Une étude visant à évaluer les effets du CBD sur les performances et la récupération musculaire a été réalisée en 2020, sur un échantillon de 21 personnes en bonne santé et adeptes de musculation. L’étude visait à supplémenter les personnes en CBD vs un placebo*. Les taux de CK et Mb ont été utilisés comme marqueurs biochimiques. Les sportifs étaient alors exposés à des exercices de musculation intense durant 3 jours. Les résultats vont dans le sens d’une nette augmentation des concentrations en CK et Mb dans les deux groupes (cf. Figure 4), ce qui prouvent que les muscles ont bien été endommagés par la pratique physique intense.
En parallèle, les chercheurs n’ont observé́ aucun effet du CBD sur les paramètres de performance des sportifs. Ils ont ensuite observé, principalement après 72h, des effets bénéfiques sur la récupération musculaire.
Comme constaté sur ces graphiques, on observe une diminution des taux de CK et de Mb pour le groupe ayant reçu une dose de CBD. La diminution est la plus significative après 72 heures. Ces résultats montrent que le CBD a un effet inhibiteur sur les concentrations en CK et Mb. Il semble même qu’après 72 heures, le groupe CBD ait largement récupéré et ait ainsi retrouvé ses performances maximales.
Cette étude nous confirme donc l’effet du CBD sur l’atténuation des lésions musculaires et sur la récupération. Cependant, les effets observés restent assez faibles. Ce peut être dû à la faible quantité́ de CBD administrée lors de cette étude. Néanmoins, même avec des doses plus élevées, il est surtout recommandé d’utiliser le CBD de manière continue et répétée, et de coupler cette prise avec d’autres techniques de relaxation musculaire afin d’obtenir des résultats significatifs [13].
La mélisse (famille des lamiacées) est une plante herbacée robuste, touffue et vivace, à rhizome court. Elle est aromatique et très parfumée. En froissant les feuilles, elle dégage une odeur caractéristique de citron.
Les plantes médicinales sont une alternative aux médicaments pour traiter les symptômes des troubles anxieux et l'insomnie. Aujourd’hui, l’EMA (European Medicines Agency) reconnaît que les feuilles de Melissa officinalis sont traditionnellement utilisées pour réduire les symptômes modérés du stress et de l’angoisse [14].
Au XVIIe siècle, les médecins français se servaient déjà de la mélisse pour lutter contre la dépression nerveuse.
Une étude a administré à des souris un extrait standardisé de Melissa officinalis L, et a constaté une amélioration modérée du stress. Ce sont les composés phytochimiques de cet extrait qui inhiberaient le catabolisme de l'acide gamma-aminobutyrique. Cette affirmation vient d'une étude prospective ouverte de 15 jours, visant à évaluer l'efficacité sur des volontaires stressés, souffrant de troubles anxieux et de troubles du sommeil légers à modérés. Les critères d'évaluation ont montré une amélioration des symptômes. La mélisse a réduit les manifestations d'anxiété de 18% et amélioré les symptômes associés à l'anxiété de 15% et enfin réduit l'insomnie de 42%. 19 sujets sur 20, soit 95% ont répondu au traitement, dont 70% (14/20) ont obtenu une rémission complète pour l'anxiété, 85% (17/20) pour l'insomnie et 70% (14/20) pour les deux symptômes. L’étude a donc démontré que l'administration chronique de Melissa officinalis L. soulage les effets liés au stress. Il est essentiel que d'autres études incorporent un placebo et étudient les marqueurs de stress physiologiques pour entériner ces premiers résultats prometteurs.
Des études précédentes avaient suggéré que 600 mg quotidiens d'extrait de feuilles de Melissa officinalis L. était la dose appropriée pour améliorer les paramètres du sommeil chez des volontaires sains. Enfin, le même groupe a constaté que 600 mg d'extrait de mélisse augmentait le calme et réduisait la vigilance [15].
La vitamine B6 (ou pyridoxine) est régulièrement utilisée dans des compléments alimentaires. Elle est impliquée dans différentes réactions enzymatiques et intervient dans le métabolisme du glycogène et celui des protéines. En outre, elle permet la synthèse de certains acides aminés et celle de neurotransmetteurs comme la sérotonine. A ce titre, elle joue un rôle important dans l’équilibre du système nerveux, par son intervention sur le stress et les mécanismes de dépression.
Les aliments riches en vitamine B6 sont surtout d’origine animale (volaille, thon, foie, saumon…) mais aussi d’origine végétale (céréales, pommes de terre, légumes secs, soja et dérivés, fruits oléagineux, fruits sauf agrumes…) [15, 16, 17].
La vitamine B6 est une vitamine indispensable à l’équilibre du système nerveux !
1 pastille par jour, à faire fondre de préférence sous la langue.
Ne pas consommer plus de 2 pastilles par jour.
Quand le quotidien est stressant, on se sent irritable, on dort mal la nuit, et on va même parfois au travail sans entrain, voire à reculons. Heureusement, il existe des solutions pour retrouver son calme : faire de la méditation ou un peu de sport, opter pour une alimentation équilibrée, prendre du temps pour soi… Afin de se sentir mieux, il est également possible d’utiliser notre produit à base de CBD.
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Poids net total : 35g.
A consommer dans le cadre d’une alimentation saine, variée et équilibrée.
Une consommation excessive peut avoir des effets laxatifs.
Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes et aux enfants de moins de 18 ans.
Les personnes suivant un traitement médicamenteux doivent consulter l’avis d’un professionnel de santé.
Contient une pastille dessicante. Ne pas avaler.
A conserver au frais, au sec et à l’abri de la lumière.
Après ouverture, à consommer dans le mois.
Tenir hors de la portée des jeunes enfants.
[1] Papaseit, Esther, et al. « Cannabinoids: From Pot to Lab ». International Journal of Medical Sciences, vol. 15, no 12, 2018, p. 1286 95.
[2] VanDolah, Harrison J., et al. « Clinicians’ Guide to Cannabidiol and Hemp Oils ». Mayo Clinic Proceedings, vol. 94, no 9, septembre 2019, p. 1840 51.
[3] Laux, Linda C., et al. « Long-Term Safety and Efficacy of Cannabidiol in Children and Adults with Treatment Resistant Lennox-Gastaut Syndrome or Dravet Syndrome: Expanded Access Program Results ». Epilepsy Research, vol. 154, août 2019, p. 13 20
[4] Burstein, Sumner. « Cannabidiol (CBD) and Its Analogs: A Review of Their Effects on Inflammation ». Bioorganic & Medicinal Chemistry, vol. 23, no 7, avril 2015, p. 1377 85.
[5] Conseil d’Etat, CBD. L’interdiction de vendre à l’état brut des fleurs et feuilles provenant de variétés de cannabis sans propriétés stupéfiantes est suspendue. Gouvernement, 23 janvier 2022. Disponible sur : https://www.conseil-etat.fr/actualites/l-interdiction-de-vendre-a-l-etat-brut-des-fleurs-et-feuilles-provenant-de-varietes-de-cannabis-sans-proprietes-stupefiantes-est-suspendue. Consulté en ligne le 9 novembre 2022.
[6] Geskovski, Nikola, et al. « Mid-Infrared Spectroscopy as Process Analytical Technology Tool for Estimation of THC and CBD Content in Cannabis Flowers and Extracts ». Spectrochimica Acta Part A: Molecular and Biomolecular Spectroscopy, vol. 251, avril 2021, p. 119422.
[7] Tcherkassof, Anna, et Nico H. Frijda. « Les émotions : une conception relationnelle »: L’Année psychologique, vol. Vol. 114, no 3, septembre 2014, p. 501 35.
[8] INRS. Faits et chiffres 2017, 2017 en un coup d’œil. Disponible sur : https://www.inrs.fr/inrs/faits-chiffres/presentation.html. Consulté en ligne le 9 novembre 2022.
[9] Institut national du sommeil et de la vigilance, Sommeil et transports (Dossier de presse). 14e Journée du Sommeil, vendredi 28 mars 2014. Disponible sur : https://institut-sommeil-vigilance.org/. Consulté en ligne le 8 novembre 2022.
[10] Chennaoui, Mounir, et Damien Léger. « Le sommeil et les conséquences du manque de sommeil : définitions et généralités »: Revue Défense Nationale, vol. N° Hors-série, no HS1, mai 2022, p. 13 21.
[11] Shannon, Scott, et al. « Cannabidiol in Anxiety and Sleep: A Large Case Series ». The Permanente Journal, vol. 23, no 1, mars 2019, p. 18 041.
[12] Atalay, Sinemyiz, et al. « Antioxidative and Anti-Inflammatory Properties of Cannabidiol ». Antioxidants, vol. 9, no 1, décembre 2019, p. 21.
[13] Isenmann, Eduard, et al. « Effects of Cannabidiol Supplementation on Skeletal Muscle Regeneration after Intensive Resistance Training ». Nutrients, vol. 13, no 9, août 2021, p. 3028.
[14] Mulot, Marie-Antoinette. Secrets d’une herboriste: 315 plantes médicinales, 100 maladies courantes, conseils de beauté, adresses utiles. 24è édition mise à jour, Éditions du Dauphin, 2017.
[15] Kennedy, David O., et al. « Attenuation of Laboratory-Induced Stress in Humans After Acute Administration of Melissa Officinalis (Lemon Balm) »: Psychosomatic Medicine, vol. 66, no 4, juillet 2004, p. 607 13.
[16] Chawla, Jasvinder, et David Kvarnberg. « Hydrosoluble Vitamins ». Handbook of Clinical Neurology, vol. 120, Elsevier, 2014, p. 891 914.
[17] Brun, Christian, et Anne Ghesquière. Le grand livre du bien-être au naturel. Eyrolles, 2012.
[18] Curtay, Jean-Paul. Nutrithérapie: bases scientifiques et pratique médicale. 5e éd. révisée et Augmentée, Testez éditions, 2016.
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