HEPACTIF BIO* 20 ampoules
Effet hépato-protecteur (Curcuma) et confort digestif (Fenouil). Plébiscité depuis plus de 25 ans par les naturopathes.
Le Chiendent favorise l'élimination urinaire, la fonction excrétoire des reins et aide à maintenir la santé du système urinaire (1).
Cytactif Bio est une formule en gélules, qui existe depuis plus de dix ans chez Fitoform, et permet de prévenir et soulager les désagréments urinaires. Parce que, en cas d'infections légères des voies urinaires, les plantes sont une bonne alternative aux médicaments, voire aux antibiotiques, Cytactif est une super association unique de cranberry, chiendent, propolis et de lactobacillus.
Cytactif Bio est une association inédite de cranberry, chiendent, propolis et lactobacillus, pour prévenir et soulager les inconforts urinaires
L’action des canneberges (cranberries), chiendent, propolis et lactobacillus est concomitante, et va dans le sens d’une action antimicrobienne et diurétique, adaptée aux cystites à répétition. Nous allons ici nous concentrer sur les effets de la canneberge. Malgré quelques controverses sur leurs effets, les canneberges - sous diverses formes - sont largement utilisées depuis plusieurs décennies pour traiter - mais aussi prévenir - les récidives d’infections urinaires. Pour les patients, elles peuvent être un complément intéressant aux antibiotiques [1].
Comment cela fonctionne ? Plusieurs voies sont étudiées. Tout d’abord les canneberges diminueraient l'adhérence bactérienne aux cellules uro-épithéliales, donc réduiraient l'incidence des infections urinaires chez la plupart des malades. Une douzaine d'essais cliniques vont dans ce sens, mais ces essais sont un peu contestables, car utilisant différents schémas posologiques et une grande variété de produits à base de canneberges, tels que le concentré de jus de canneberge, un cocktail de jus de canneberge voire des capsules [2] !
Infections urinaires, cystites, et autres gênes urinaires concernent 1 femme sur 10 chaque année en France, selon l’Assurance Maladie.
Ensuite, des études portant sur les effets des canneberges sur l'urine ont montré que l'excrétion d'acide hippurique des baies de canneberges aide l'urine à rester acide, ce qui jouerait un rôle pour traiter et prévenir les infections.
L’ensemble des études scientifiques disponibles a conduit l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (AFSSA) à reconnaître l’intérêt de la canneberge et à autoriser l’allégation suivante : « La canneberge contribue à diminuer la fixation de certaines bactéries sur les parois des voies urinaires ». Son efficacité n’est pas démontrée chez l’enfant ou le traumatisé médullaire réalisant des cathétérismes vésicaux intermittents sur vessie neurologique. Le dosage et la forme galénique restent à définir par des études comparant les différentes formes et dosages disponibles. L’utilisation de la canneberge semble diminuer l’incidence des récidives de cystites chez les femmes présentant des infections urinaires à répétition, mais les critères d’éligibilité sont à définir. La prescription en pratique courante devra être motivée par la réalisation de nouvelles études cliniques montrant son efficacité et l’absence de complication à long terme [3].
Cytactif Bio, ce sont des plantes et un ferment lactique sous formes de poudre ou d’extraits concentrés - les actifs de la formule - et juste quelques excipients, pour assurer la forme en gélules.
Nous sommes engagés auprès d’un organisme certificateur agréé, ECOCERT, qui bénéficie de plus de 30 années d'expérience en audit et en certification biologique, en France et dans plus de 130 pays. 100% des plantes utilisées dans notre Cytactif sont certifiées BIO.
Chez Fitoform, pas de superflu ! Peut-être que des arômes ou colorants rendraient le comprimé plus « attrayant », mais nous préférons assurément laisser la place aux plantes et aux actifs.
La gélule est constituée de deux capsules de « gélatine » végétale (hypromellose), dures et emboitées, qui renferment le mélange d’ingrédients en poudre. Les principes actifs sont libérés dans le tube digestif par destruction de l’enveloppe. La gélule protège les actifs qui sont à l’intérieur contre les risques externes de dégradation (comme l’oxygène, par exemple).
Nous privilégions au maximum les circuits courts, l’origine France dès que possible, la qualité BIO systématique pour nos plantes, des producteurs qui apportent des garanties en termes de qualité, d’efficacité (bulletin d’analyses sur les actifs des plantes), et de sécurité (plan de contrôle). Du sérieux, quoi !
100% d’ingrédients naturels
100% d’ingrédients actifs
100% d’ingrédients BIO
Quantité totale de plantes par dose journalière recommandée* : 626 mg
*calculée à partir de la somme des poudres de plantes et des équivalents plantes issus des extraits.
Extrait de baies de Cranberry* (Vaccinium macrocarpon) origine Amérique du Nord. Gélule végétale (hypromellose). Antiagglomérants : carbonate de calcium, talc. Extrait de rhizomes de Chiendent* (Elymus repens). Extrait de propolis*. Lactobacillus sporogenes. Antiagglomérant : carbonate de magnésium.
*Ingrédient issu de l’agriculture biologique.
**En équivalent plante
Comme le foie, les reins sont également des émonctoires, qui jouent un rôle essentiel dans les mécanismes de drainage et d’élimination. Ils « filtrent » le sang en éliminant dans les urines les déchets produits par le corps, comme l’urée et la créatinine. L’urée est le résultat de la décomposition des protéines par le corps. La créatinine, quant à elle, est produite par les muscles et filtrée par les reins. Rappelons que ces déchets pourraient être toxiques s’ils restaient dans la circulation sanguine ! C’est dire si les reins sont des organes indispensables !
Outre leur fonction d’élimination des déchets, les reins assument d’autres rôles physiologiques :
Les reins sont capables d’éliminer le surplus d’eau ou encore de retenir l’eau quand le corps en a besoin d’une plus grande quantité.
Notamment pour les sodium, potassium, calcium et phosphate provenant des aliments. En cas d’excès, les reins sont capables d’évacuer le surplus dans les urines. De vrais régulateurs !
les reins fabriquent des hormones essentielles à notre équilibre et notre bien-être, comme celles qui régulent la tension artérielle, contribuent à la production de globules rouges et équilibrent le calcium et le phosphore dans l’organisme.
Au vu de leur fonctionnement d’élimination des déchets, on comprend mieux pourquoi boire de l’eau en bonne quantité et chaque jour est un réflexe essentiel. Les apports journaliers recommandés en eau sont d’environ 1,5 litre de boissons (eau, café, thé, tisane) auxquels d’ajoutent environ 600 mL apportés par notre alimentation (fruits, légumes, laitages, etc).
Boire de l’eau permet donc de diluer les urines, limiter le risque de formation de calculs rénaux et prévenir la survenue d’infection urinaire. En cas de sensibilité aux infections urinaires, il est recommandé d’augmenter sa consommation d’eau à environ 2 litres d’eau par jour. A l’inverse, en cas de colique néphrétique, souvent déclenchée par un calcul urinaire, mieux vaut limiter sa consommation d’eau pour éviter de mettre les reins sous tension et d’augmenter la douleur.
Prendre soin de ses reins passe aussi par une alimentation saine et équilibrée, donc peu riche en graisses saturées et en protéines animales, et peu salée. En effet, un excès de sel à long terme peut favoriser l’hypertension artérielle et endommager les reins.
Les reins étant si précieux, il est bien sûr conseillé de consulter rapidement son médecin traitant en cas d’apparition de certains troubles (douleurs, urines colorées ou au contraire délavées, etc…) [4].
Les infections urinaires sont des infections qui touchent surtout la vessie (appelées cystites), mais elles peuvent aussi atteindre les voies urinaires et les reins. Elles sont généralement provoquées par des bactéries (Escherichia coli - E. coli - est l’agent pathogène le plus souvent responsable) qui remontent via l'urètre et prolifèrent dans la vessie. L'environnement chaud et humide de la vessie est un lieu de prolifération idéal pour les bactéries !
Les symptômes peuvent être légers, jusqu’à franchement désagréables : le plus courant est la sensation de brûlures, voire la douleur, en urinant. L’envie d’aller aux toilettes est fréquente, même si la vessie est vide ; le malade élimine à chaque miction de toutes petites quantités. Il ressent souvent une sensation de poids dans le bas du ventre, voire des douleurs. On peut aussi noter des urines troubles, dégageant une odeur inhabituelle. Bref, que des sensations pénibles ! Le plus souvent, une cystite n'entraîne pas d’autres complications. Mais l’infection peut remonter jusqu’aux reins (pyélonéphrite), ce qui est beaucoup plus dangereux. Dans tous les cas, l’apparition d’une fièvre, même légère, doit appeler à la plus grande vigilance !
Les infections urinaires sont un problème de santé publique, encore plus chez les femmes. En effet, chez la femme (et chez la petite fille) l'urètre est court, d’où un risque plus important de cystite. On sait qu’1 femme sur 2 présentera au cours de sa vie un ou plusieurs épisodes de cystite aiguë. Deux pics de fréquence sont observés : au début de l’activité sexuelle et après la ménopause, à cause de la chute d’œstrogènes et des risques accrus d’incontinence urinaire.
Mais n’oublions pas que les hommes peuvent aussi développer ce genre d’infections de la vessie, même si elles sont rares chez l'homme jeune, grâce à la longueur de leur urètre ! A un âge plus avancé, l’arrivée possible de maladies de la prostate - gênant la vidange de la vessie - peut cependant favoriser ce genre d’infections.
En cas de cystite, le premier réflexe, même si aller aux toilettes est très désagréable, est de boire beaucoup d’eau, au minimum 2 litres par jour. En effet, augmenter le volume des urines permet en partie d’empêcher les bactéries d’adhérer aux parois des voies urinaires, en maintenant un flux quasi constant d’urine (d’où l’intérêt aussi des plantes diurétiques, nous en parlerons plus tard). Mais le traitement classique d’une infection urinaire est une consultation médicale, souvent après 2 jours de symptômes, pour une prescription d’antibiotiques (dans 54% des cas d’infections chez les femmes), qui devient problématique en cas d’infections urinaires récidivantes, notamment chez la femme. En effet, ces traitements ne sont pas dépourvus de risques de résistance et d’effets indésirables. C’est pourquoi les personnes sujettes aux infections urinaires se tournent volontiers vers des voies de traitement alternatives non médicamenteuses, à commencer par l’utilisation de canneberge. Ainsi, 38% des femmes françaises concernées par des infections et/ou inconforts urinaires ont déjà consommé de la canneberge.
La littérature scientifique commence à être bien documentée en ce sens, par de nombreuses études scientifiques, notamment au Canada [4, 5, 6,7]
La canneberge fait partie de la famille des Éricacées. Elle pousse à l’état naturel sur les sols acides et pauvres des tourbières et des littoraux. Plusieurs noms désignent ce petit fruit acidulé, cousin du bleuet : pomme des prés, atoca ou atoka, airelle, et encore pois de fagne. En anglais, on la désigne sous le nom de « cranberry ». Il existe plusieurs variétés de canneberges, mais on va se concentrer sur la variété qui fait l’objet d’études en urologie, à savoir la canneberge américaine (V. macrocarpon), qui est cultivée à grande échelle dans certaines parties du nord des États-Unis. Ses petites fleurs, du rose au rouge, apparaissent en juin, et les baies rouges mûrissent en septembre, ayant une saveur légèrement acide.
80% de la production de canneberges est transformée en jus et fruits séchés, mais la gamme de produits à base de canneberges grandit : boissons gazeuses, biscuits, céréales, confitures, coulis, etc… [4]
Parce que nous sommes le fruit des actions que nous répétons régulièrement, avoir une routine quotidienne peut apporter un sentiment de sécurité et de confiance en soi. Une routine sert à structurer sa journée, à ne pas se perdre lorsque l’on se sent submergé, stressé, fatigué... Sans routine, c’est un peu comme si l’on partait en vacances sans GPS, on peut y arriver, mais cela risque d’être plus ou moins long. De nos jours, il existe beaucoup d’articles concernant la fameuse “routine idéale”, mais c’est à vous de trouver votre propre routine ! Vous pouvez vous inspirer de plusieurs routines, et garder ce qui vous correspond le mieux. Bien sûr, ne vous levez pas à 5h tous les matins pour faire une activité sportive si vous n'en avez pas l’envie !
À tout moment de la journée, en anticipation d’un épisode stressant, après une séance de sport, ou avant de vous endormir, pratiquez la respiration « 4-7-8 ». Cet exercice utilise la respiration abdominale pour vous aider à vous détendre.
_Placer une main sur le ventre et l'autre sur la poitrine
_Inspirer lentement et profondément par le ventre, en comptant silencieusement jusqu'à 4
_Retenir son souffle, et compter silencieusement jusqu'à 7
_Expirer complètement, en comptant silencieusement jusqu'à 8
_Recommencer l’exercice 3 à 7 fois, puis observer la sensation de calme
A l’échelle mondiale, une mauvaise alimentation et le manque d’exercice physique sont les principaux risques pour la santé. En effet, l'excès de poids peut favoriser l’apparition de nombreuses maladies et réduit considérablement l’espérance de vie.
Il est ainsi conseillé d’avoir une alimentation variée, en quantités raisonnables, privilégiant des aliments frais et de bonne qualité. Comment faire ? Par exemple en faisant 3 repas par jour, plus éventuellement une collation dans l’après-midi, et en piochant dans tous les groupes d’aliments, on apporte à son corps tous les nutriments, vitamines et minéraux nécessaires à son équilibre.
Une idée d’assiette « idéale » ? La moitié sous forme de légumes, crus ou cuits, ¼ de protéines animales (viande, poisson, œuf…) et/ou de protéines végétales (tofu, légumes secs), ¼ de féculents (pâtes, riz, pommes de terre, pain…). A compléter bien sûr avec un produit laitier pour le calcium !
L’utilisation de jus de cranberries est connue depuis des siècles en Amérique du Nord pour protéger contre les infections urinaires, quoique sa validation scientifique soit très récente. Les études scientifiques sur les canneberges sont assez nombreuses, parfois contestées, mais elles convergent vers l’intérêt de sa consommation pour les personnes souffrant de cystites à répétition.
Raz et ses collègues ont les premiers souligné les activités anti adhérentes du jus de canneberges. En France, en avril 2004, l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (AFSSA) a publié un premier avis positif concernant l’action des proanthocyanidines (PAC de type A) de cranberry (Vaccinium macrocarpon exclusivement). Pour rappel, les PAC sont des tanins qui contribuent à diminuer l'adhésion de certaines bactéries (notamment Escherichia coli) sur les parois des voies urinaires. C’est la première fois qu’une allégation santé est accordée à un produit alimentaire à base de fruits. Cet avis a été suivi par deux autres avis positifs, en 2005 et en 2007, reconnaissant les mêmes bénéfices à d’autres produits issus de la canneberge. Dans l’étude clinique de J. Avorn, publiée en 1994, l’AFSSA a retenu les résultats significatifs (diminution de la charge bactérienne dans la vessie) d’une consommation journalière de 300 ml de boisson de cranberry.
En juin 2008, l’AFSSAPS a publié́ ses recommandations de bonne pratique « Diagnostic et antibiothérapie des infections urinaires bactériennes communautaires chez l’adulte ». À propos de la prévention non-antibiotique des infections urinaires, l’agence a repris la base des conclusions et l’allégation précédemment validée par l’AFSSA.
L’efficacité des PAC de cranberry a été évaluée par deux autres études. La première chez 8 volontaires sains en double insu, selon un protocole randomisé et croisé, comparant l’administration d’un produit A (108 mg ou 36 mg/jour) versus un placebo. La 2eme étude concernait 32 participants dans 4 pays, qui consommaient 18, 36 ou 72 mg de PAC/jour en une prise. Etude contre placebo, en double insu et randomisée.
Dans les deux cas, l’effet d’inhibition de croissance des Escherichia coli dans les urines des volontaires a été très significatif. La dose-dépendance des PAC a été également significative [8].
Des propriétés antibactériennes du jus de canneberges sont également envisagées dans des études scientifiques. Ceci par 2 voies. D’abord un impact dans la génération non-enzymatique d'oxyde nitrique (NO), sachant que ce dernier possède des propriétés antimicrobiennes en cas d’infections des voies urinaires.
Par ailleurs, une autre étude a démontré l’intérêt de l’acidification légère (pH compris entre 5,0 et 6,0) de l’urine, notamment par le biais de canneberges. Cela permet la libération de quantités importantes de gaz NO, aux propriétés antimicrobiennes connues en cas d’infections des voies urinaires.
Cependant, ces études sont intéressantes mais pas totalement probantes, car elles montrent que les propriétés antimicrobiennes du jus de canneberges sont largement dépendantes du temps et de la concentration, ce qui laisse présager d’un rôle limité - ou à préciser - dans la prophylaxie et le traitement [9].
Le chiendent est une plante vivace herbacée qui mesure de 30 cm à 1,20 m de haut, et possède un rhizome long et rampant. Originaire d’Europe, d’Asie et d’Afrique du Nord, le chiendent est très souvent qualifié par les jardiniers de mauvaise herbe, tenace et envahissante, à cause de ses effets dévastateurs sur les sols.
En phytothérapie, le chiendent est plus apprécié, notamment pour ses bienfaits sur l'appareil urinaire, puisqu’il favorise l'élimination rénale et permet d'assainir les voies urinaires. Cette action serait due à la présence de mucilages dans le rhizome, la triticine, et à celle d’une essence reconnue antibiotique, l’agropyrène.
La propolis est une substance produite par les abeilles, d'origine végétale. De composition complexe, elle contient divers composés chimiques (polyphénols, flavonoïdes, acides aminés et vitamines), qui lui confèrent de nombreuses propriétés pharmaceutiques, notamment des effets antioxydants, antimicrobiens, antifongiques, et anti-inflammatoires [12].
Les études scientifiques publiées au cours de la dernière décennie évaluent l’activité antimicrobienne de la propolis contre les bactéries Gram-positives, notamment le Staphylococcus aureus et Candida albicans, dans des pathologies des sphères ORL, gastro-intestinale, génitale ou buccale Le mécanisme d'action de la propolis n'est pas clairement établi, les hypothèses tendent soit vers une interaction directe avec les cellules microbiennes, soit vers une stimulation du système immunitaire des cellules hôtes. La première étude sur l’activité antiseptique de la propolis a été réalisée par Kivalkina en 1948. Il détecta une activité bactériostatique sur Staphylococcus aureus, le bacille thyphoïde et d’autres pathogènes. Le mécanisme de l’activité bactériostatique et bactéricide de la propolis semble lié à son action d’inhibition de la synthèse protéique et inhibitrice de la division cellulaire. Havsteem et al. suggèrent que certains composants de la propolis inhibent la synthèse de protéines et la croissance bactérienne, en empêchant la division cellulaire. Les flavonoïdes affectent le potentiel de la membrane bactérienne et causent une altération de la perméabilité membranaire . Les propriétés lipophiles inhérentes des terpénoïdes leur confèrent une affinité avec les membranes ; le trans-nérolidol est un composant connu pour augmenter la perméabilité plasmatique chez les bactéries (S. aureus et E. coli). De plus, les sesquiterpénoïdes (nérolidol, farnésol, bisabolol, apritone) peuvent rompre l’effet de barrière de la membrane des bactéries, ce qui permet de faciliter l’assimilation d’exogènes comme les antibiotiques.
Finalement, les propriétés antibactériennes de la propolis, liées à la synergie entre ses composants, la présente comme un très bon candidat potentiel pour lutter, entre autres, contre les infections urinaires [12, 13, 14].
Lactobacillus sporogenes est un probiotique obtenu grâce à une fermentation. Pour rappel, les probiotiques, tels que L. sporogenes, sont des micro-organismes vivants, donc de bonnes bactéries (souvent des ferments lactiques), qui ont un effet bénéfique sur l’organisme et, quelque part, « protègent » notre intestin. Dans notre alimentation, on les trouve dans les laitages fermentés et les yaourts, notamment.
Les probiotiques comme Lactobacillus sporogenes favorisent la croissance de bactéries amies et aident à maintenir un équilibre sain de la microflore dans l'organisme dans l'environnement intestinal. Ce qui explique son utilisation dans la formulation du Cytactif !
2 gélules par jour (1 le matin et 1 le soir) à avaler avec un verre d’eau en dehors des repas.
Pour les femmes comme pour les hommes.
Pour les personnes qui ont souvent besoin d’uriner dans la journée.
Pour les personnes qui ressentent parfois des douleurs ou des brûlures en urinant.
Pour les personnes qui ont du mal à se retenir d’uriner.
Pour les femmes actives sexuellement (le risque d’infection urinaire est 50x fois plus élevé chez la femme que chez l’homme).
Pendant 15 jours.
Renouvelable selon les besoins
Boîte de 30 gélules.
Poids net : 16,2g
Les compléments alimentaires doivent être utilisés dans le cadre d’un mode de vie sain et ne pas être utilisés comme substituts d’un régime alimentaire varié et équilibré.
Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
Déconseillé aux personnes allergiques aux produits de la ruche.
À conserver au frais, au sec et à l’abri de la lumière.
Tenir hors de portée des jeunes enfants.
[1] Wee, Jae Joon, et al. « Biological Activities of Ginseng and Its Application to Human Health ». Herbal Medicine: Biomolecular and Clinical Aspects, édité par Iris F. F. Benzie et Sissi Wachtel-Galor, 2nd éd., CRC Press/Taylor & Francis, 2011
[2] Goetz, P. et al. Ginseng et autres plantes adaptogènes. « Mode d’emploi du ginseng et d’autres adaptogènes». Phytotherapie, vol. 2, no 4, juillet 2004, p. 113 16
[3] Todorova, Velislava, et al. « Plant Adaptogens—History and Future Perspectives ». Nutrients, vol. 13, no 8, août 2021, p. 2861.
[4] Shamloul, Rany. « Natural Aphrodisiacs ». The Journal of Sexual Medicine, vol. 7, no 1, janvier 2010, p. 39 49.
[5] Lim, Chi-Yeon, et al. « Comparative Study of Korean White Ginseng and Korean Red Ginseng on Efficacies of OVA-Induced Asthma Model in Mice ». Journal of Ginseng Research, vol. 39, no 1, janvier 2015, p. 38 45.
[6] He, Min, et al. « The Difference between White and Red Ginseng: Variations in Ginsenosides and Immunomodulation ». Planta Medica, vol. 84, no 12/13, août 2018, p. 845 54.
[7] Zhang, X., et al. « Effects of Ginsenoside Rg1 or 17β-Estradiol on a Cognitively Impaired, Ovariectomized Rat Model of Alzheimer’s Disease ». Neuroscience, vol. 220, septembre 2012, p. 191 200.
[8] Zhang, Fengxiang, et al. « Stem-Leaves of Panax as a Rich and Sustainable Source of Less-Polar Ginsenosides: Comparison of Ginsenosides from Panax Ginseng, American Ginseng and Panax Notoginseng Prepared by Heating and Acid Treatment ». Journal of Ginseng Research, vol. 45, no 1, janvier 2021, p. 163 75.
[9] INRS. Stress au travail [en ligne]. Mise à jour le 05/01/2017. Disponible sur: https://www.inrs.fr/risques/stress/effets-sante.html (consulté en ligne le 10 novembre 2022)
[10] Servan-Schreiber, David. Guérir: le stress, l’anxiété et la dépression sans médicaments ni psychanalyse. R. Laffont, 2012.
[11] Drouard, A. « Histoire du ginseng en Occident: introduction, representations et usages ». Phytotherapie, vol. 2, no 4, juillet 2004, p. 97 101
[12] Bach, Hoang Viet, et al. « Efficacy of Ginseng Supplements on Fatigue and Physical Performance: A Meta-Analysis ». Journal of Korean Medical Science, vol. 31, no 12, 2016, p. 1879.
[13] Lu, Guanyu, et al. « Recent Advances in Panax Ginseng C.A. Meyer as a Herb for Anti-Fatigue: An Effects and Mechanisms Review ». Foods, vol. 10, no 5, mai 2021, p. 1030
[14] Arring, Noël M., et al. « Ginseng as a Treatment for Fatigue: A Systematic Review ». The Journal of Alternative and Complementary Medicine, vol. 24, no 7, juillet 2018, p. 624 33.
[15] Jung, Jae-Woo, et al. « Therapeutic Effects of Fermented Red Ginseng in Allergic Rhinitis: A Randomized, Double-Blind, Placebo-Controlled Study ». Allergy, Asthma and Immunology Research, vol. 3, no 2, 2011, p. 103.
[16] Dimpfel, Wilfried, et al. « Effects of Red and White Ginseng Preparations on Electrical Activity of the Brain in Elderly Subjects: A Randomized, Double-Blind, Placebo-Controlled, Three-Armed Cross-Over Study ». Pharmaceuticals, vol. 14, no 3, février 2021, p. 182.
[17] Scholey, Andrew, et al. « Effects of American Ginseng (Panax Quinquefolius) on Neurocognitive Function: An Acute, Randomised, Double-Blind, Placebo-Controlled, Crossover Study ». Psychopharmacology, vol. 212, no 3, octobre 2010, p. 345 56.
[18] Geng, JinSong, et al. « Ginseng for Cognition ». Cochrane Database of Systematic Reviews, édité par Cochrane Dementia and Cognitive Improvement Group, décembre 2010
[19] Chomat, Jean-Claude. Le ginseng, racine de longue vie: son histoire, ses propriétés et ses indications thérapeutiques. Dangles, 1999.
[20] Xie, J. T., et al. « Ginseng Berry Reduces Blood Glucose and Body Weight in Db/Db Mice ». Phytomedicine, vol. 9, no 3, janvier 2002, p. 254 58.
[21] Lee, Young-Sil, et al. « Effects of Korean White Ginseng Extracts on Obesity in High-Fat Diet-Induced Obese Mice ». Cytotechnology, vol. 62, no 4, août 2010, p. 367 76.
[22] Song, Mi-Young, et al. « Influence of Panax Ginseng on Obesity and Gut Microbiota in Obese Middle-Aged Korean Women ». Journal of Ginseng Research, vol. 38, no 2, avril 2014, p. 106 15.
[23] He, Min, et al. « The Difference between White and Red Ginseng: Variations in Ginsenosides and Immunomodulation ». Planta Medica, vol. 84, no 12/13, août 2018, p. 845 54.
[24] Smith, Imogen, et al. « Effects and Mechanisms of Ginseng and Ginsenosides on Cognition ». Nutrition Reviews, vol. 72, no 5, mai 2014, p. 319 33.
[25] Leung, Kar Wah, et Alice ST Wong. « Ginseng and Male Reproductive Function ». Spermatogenesis, vol. 3, no 3, juillet 2013, p. e26391.
[26] Bouarfa, Mehdi, et Anne-Marie Pensé-Lhéritier. Conception des compléments alimentaires: marché, développement, réglementation et efficacité. Lavoisier-Tec & doc, 2016.
[27] Hemila, H., et P. Louhiala. « Vitamin C May Affect Lung Infections ». Journal of the Royal Society of Medicine, vol. 100, no 11, novembre 2007, p. 495 98
[28] Wintergerst, Eva S., et al. « Immune-Enhancing Role of Vitamin C and Zinc and Effect on Clinical Conditions ». Annals of Nutrition and Metabolism, vol. 50, no 2, 2006, p. 85 94
[29] Segal, Anthony W. « HOW NEUTROPHILS KILL MICROBES ». Annual Review of Immunology, vol. 23, no 1, avril 2005, p. 197 223
[30] Hemilä, Harri. « Vitamin C and Infections ». Nutrients, vol. 9, no 4, mars 2017, p. 339.
Certaines mesures préventives doivent être prises, si le nombre d’épisodes de cystite dépasse 4 par an :
Vous pouvez donner un petit coup de pouce à votre organisme avec de petits conseils alimentation:
_OUI à une alimentation riche en légumes, céréales demi-complètes (quinoa, riz, sarrasin, avoine...), jus de légumes, ail et oignon.
_STOP aux thés, café, épices, alcool, sucres et laitages.
Je me sens beaucoup mieux depuis que j'utilise ce complément. Moins de brûlures, moins de petites gênes.
J'ai remarqué une amélioration de ma concentration depuis que je prends Cytactif régulièrement. C'est un produit qui tient ses promesses.
En tant que maman active, ces gélules m'ont aidée à retrouver un peu de pep's malgré un emploi du temps chargé.
Je recommande vivement Cytactif à ceux qui cherchent à booster leur énergie naturellement. Les ingrédients bio font la différence.
Cytactif est facile à intégrer dans ma vie quotidienne. Les gélules sont pratiques et m'aident à me sentir plus dynamique.
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Pour favoriser le bon fonctionnement du foie et la digestion.
15 plantes pour une détox en profondeur des 5 émonctoires: foie, reins, intestins, peau, poumons.
Pour des jambes légères (Vigne rouge, petit Houx), avec les superfruits Cassis-Grenade !
Draineur naturel (marc de raisin) qui aide à affiner la silhouette et à réduire la peau d'orange.
Du Fenouil qui atténue les désagréments de la Ménopause et de la Mélisse pour une humeur positive.
Pour favoriser une détoxification complète de l’organisme, foie, reins, intestins.
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Nous investissons continuellement dans l'innovation, la préservation de l'environnement et l'amélioration de la qualité de nos produits afin de contribuer significativement à l'amélioration de la qualité de vie, en offrant des produits naturels et en adoptant une approche éco responsable.
La qualité des produits est une valeur primordiale pour Fitoform Compagnie. Ainsi, avant de les commercialiser, l'entreprise procède à de multiples contrôles afin d'assurer leur qualité, leur sécurité et leur efficacité.
Depuis 1992, nous sommes engagés dans la certification Agriculture Biologique avec Ecocert. Plus de 90% de nos références sont certifiées BIO. Soucieux de préserver notre environnement, nous privilégions l'utilisation de cartons et papiers certifiés PEFC et Imprim 'Vert, ainsi qu'une organisation responsable de nos ressources.
Notre raison d'être, c'est vous !
Notre entreprise est reconnue pour sa qualité et l'extrême soin accordé à l'élaboration de nos produits. Nous vous offrons des réponses naturelles pour un nouveau bien-être physiologique et émotionnel : digestion, élimination, articulation, ménopause, immunité, activité cérébrale, fatigue, stress, minceur, beauté...
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